Tel rose noir Marseille, Nia en ligne pour un moment à deux
Nia. Une fille simple, franche, un peu trop entière parfois. Je suis à Marseille, dans mon appart du côté de Belsunce, la fenêtre ouverte, la ville qui claque au loin. Toi qui arrives, sans bruit, juste avec l’envie de parler vrai. Pas de jugement, pas de rôle. Juste toi, moi, et un tel rose noir qui fait bouger les lignes.
J’aime les moments qui serrent un peu le coeur, ceux où quelqu’un se rapproche lentement, pas par la force, par l’envie. Les baisers, oui, je ne vais pas mentir, ça me retourne. Pas les baisers de cinéma. Ceux qui prennent leur temps. Ceux qui se respirent. Ceux où on garde les yeux ouverts pour vérifier que c’est bien réel. Ces gestes-là, ça m’ancre, ça me fait vibrer.
J’aime bouger, me laisser prendre par un rythme, enlever un truc, puis un autre, sans précipitation. Laisser monter la tension comme une vague qui sait où elle va. Je sens quand un mec commence à perdre son calme. Quand il ne tient plus droit. Et ça me parle, ça me nourrit. L’adrénaline, je la connais bien. Elle me réveille, elle me rend plus vraie.
On peut parler de tout. De tes envies, de ce qui te traverse, de ce que tu n’avoues pas. Je ne juge pas. Jamais. Je te suis, je te relance, je te bouscule un peu si j’ai l’impression que tu te retiens trop. J’aime quand un homme se lâche, vraiment. Pas pour m’impressionner, mais pour se libérer.
Si t’as envie de t’évader, de casser ton quotidien, de sentir un truc qui pulse pour de bon, appelle moi. Pas pour faire du bruit. Pour créer quelque chose. Un moment qui ne ressemble à rien d’autre.
Je suis là. Et j’ai envie de toi, là, maintenant.
