Salut les mecs, moi c’est Lucie, je suis commerciale pour l’industrie pharmaceutique et je suis toujours en déplacement dans des villes différentes où j’adore me faire des bons plans cul avec des hommes que je ne reverrai jamais. La semaine dernière j’étais à Albi et je venais de faire une belle vente dans une grosse pharmacie. Il faut dire que j’avais donné de ma personne dans l’arrière-boutique avec le patron de l’établissement. Normalement les labos sont obligés d’offrir des voyages pour placer les produits. Mais avec moi rien de tel, il suffit que j’apparaisse dans la boutique et que je demande un rendez-vous après la fermeture au patron pour être sûr de placer mes produits. Mon patron n’est pas dupe mais il ferme les yeux car c’est dans son intérêt et moi cela ne me dérange pas, bien au contraire…Donc le boss de la grande pharmacie d’Albi était près de l’interrupteur de fermeture du rideau métallique de la boutique et moi, direct je me suis collée à lui par derrière et j’ai appuyé sur le bouton à sa place. De l’autre main je caressais sa bite à travers le pantalon. C’est bien ce que je pensais, elle était déjà bien dure. Je me mettais à genoux pour le sucer mais il m’a relevé par les cheveux, a m’a dit à l’oreille : »T’inquiète, tu vas me sucer mais après. Là ma bite est trop propre pour toi petite chienne. Couche-toi à terre sur le ventre tout de suite ! »
Je m’exécutais sur le carrelage froid de la boutique. Il s’est mis à califourchon sur moi et a commencé à découper mes fringues au scalpel. Comme je protestais il m’a dit : »Je viens de te passer pour 200 mille de commande tu vas pouvoir t’en racheter des fringue connasse. » Je me suis vite retrouvée entièrement nue sur le carrelage.
« Pas bouger ! » m’a-t-il dit alors qu’il se levait pour récupérer un flacon de lotion pour le corps sur une étagère. Il m’a badigeonné vite fait l’anus et m’a enculée direct. Je gueulais tout ce que je pouvais car sa bite était vraiment grosse et surtout je savais que ça l’exciterai encore plus. Moi j’étais trempée de la chatte mais comme il était dons mon cul ça ne faisait pas beaucoup de différence. Il m’a ramonée sans doute vingt minutes puis s’est retiré aussi vite qu’il était entré. Il m’a prise par les cheveux et m’a dit : « vas-y, maintenant tu peux sucer ! » Le goût de sa bite était un mélange de mon cul et de lait Nivéa. Quand il a déchargé dans ma bouche j’ai compris qu’il n’y en aurait pas pour ma chatte cette fois ci.
Appelle-moi si tu veux savoir ce qui m’est arrivé la semaine suivante à Cahors.
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