Téléphone rose sans carte bleue Nice – Ina, manque de chaleur et de toi
Ina. Voix chaude, esprit délié, une façon de parler qui accroche un peu le cœur. Je suis à Nice, entre Gambetta et le Vieux-Nice, là où l’air sent le sel et la lumière colle à la peau. Et toi, tu tombes dans ma soirée comme une envie qui ne prévient pas.
On dit que je suis en manque… peut-être. En manque de vrais mots, de vrais hommes, de vraies vibrations. De ce truc qui passe entre deux voix quand on se lâche vraiment. Si tu cherches une fille dispo, présente, entière, t’as trouvé.
Sur un téléphone rose sans carte bleue, je deviens une version de moi plus libre, plus instinctive. Je laisse ma voix se casser un peu, glisser, se rapprocher. Je suggère, j’effleure, je provoque sans forcer. Je veux créer une tension, pas un film. Te faire sentir que je suis réelle, vivante, allumée peut-être, oui, mais à ma façon.
Les uniformes… oui, ça me trouble. Le contrôle, la règle, puis l’instant où tout dérape. Ça vient sûrement de là, de ce contraste qui me fait frissonner. Cette idée d’oser quand on ne devrait pas. De se laisser guider par quelque chose de plus grand que la morale. Ça m’attire, je ne vais pas mentir.
J’aime parler. Te livrer ce que je garde pour personne. De petites confidences, un peu chaudes, un peu piquantes, mais jamais gratuites. Je veux que tu les reçoives, que tu réagisses, que ta respiration change. J’adore sentir quand tu m’écoutes vraiment. Quand ma voix t’accroche, te retient. Quand tu te laisses prendre au jeu.
Je ne te promets pas une scène. Je te promets un moment. Un vrai.
Celui où tu fermes les yeux et tu te dis que ça fait du bien, là, maintenant, juste d’être avec moi.
Si t’as besoin de t’évader, d’essayer, de dévier un peu de ta route, je suis là.
Tu m’appelles, et on fait monter ça ensemble.
