Beurette tel rose Strasbourg – Amira te fait grimper aux murs

Amira. La voix. La beurette. Celle qui t’embarque, te chauffe, t’allume sans crier gare. Je suis là, à Strasbourg, et dès que tu m’appelles, je t’arrache à ta journée. Plus rien n’existe. Juste ton souffle, mes mots, et nos pulsions en feu.

T’as déjà baisé au téléphone ? Moi j’en fais un art. Une montée lente, sale, douce, brûlante. Je te parle, tu bandes. Je te guide, tu craques. Et moi, je me touche. Rien que d’imaginer ta main sur mon cul, ça m’arrache un gémissement.

J’suis pas une fille discrète. J’aime la levrette, la vraie. Celle où je m’accroche aux draps, celle où tu cognes sans pitié. Quand tu me tiens, que tu me fais tien. Je veux sentir ton bassin claquer contre le mien, te sentir me dominer, me remplir. Ce moment-là, c’est pas du sexe, c’est de la magie animale.

Mais j’ai aussi ce truc en moi. Le jeu, le vice, le plaisir de te faire attendre. Je danse avec ma voix, je me déshabille lentement, en racontant tout. Mes fringues, mon envie, mes zones humides. Et je sens ton souffle changer. Je t’entends me suivre. Et j’en veux plus.

J’adore t’imaginer nu, torse contracté, la main qui descend. J’aime t’entendre gémir quand je glisse des mots crus, tendres, impudiques. J’aime être ta beurette salope, ta confidente cochonne, ta bombe sensuelle rien qu’à toi, l’espace d’un appel.

Strasbourg est vaste mais ce soir, je suis toute petite dans mon lit, toute mouillée, toute à toi. Tu veux m’attraper par la voix ? Je suis là. Et je mouille déjà.